ジャン=イヴ・タディエ『二十世紀文学批評』より「ロラン・バルト」3


ぐだぐだの日本語で
データベースというにはおこがましいんだが
何かのお役に立てれば ということで。
というか遅ればせながらの
我輩の独り一般教養なのだが。


つーか 翻訳が既にあるということをid:editech 氏に教えて頂いた。
どうもありがとう
(自分で調べろよというつっこみはなしでよろしく)
なんだー日本語で読めるのかぁ
じゃあ 日本語で読めばいいじゃないかぁこの手の本は
とテンション下がったのだが
幾つか付箋紙わざわざはったんだしということで。
読むよ俺はしばしフランス語で。


さて
飲みながら読んだせいか
後半 理解さえおぼつかない 正直なところ。
もったいないことをした。
分りかけたのに。
いや しらふでも理解できなかっただろうか。

Et, naturellement, la littérature. L’orientation du Degré zéro de l’écriture (1953) était plutôt sociologique, celle de Michelet par lui-même (1954), thématique et bachelardienne. S/Z (Seuil, 1970) propose une sémiotique du récit, où l’on retrouve, parfois modifiés, nos Les Eléments de la sémiologie, complétés par « L’Introduction à l’analyse structurale du récit » (Communications, n° 8, 1966), dont nous parlerons dans le chapitre consacré à l’analyse du récit et à la poétique de la prose. Dans S/Z, donc, Barthes reste fidèle à la distinction entre dénotation et connotation, au repérage des « signifiés », à l’unité du corpus (ici, Sarrasine, nouvelle de Balzac), à la métonymie. Les codes inventés par Barthes correspondent eux-mêmes aux niveaux de Hjemslev — mais sans idée de hiérarchie, par exemple le code des actions, le code herméneutique ou de la Vérité, les codes culturels, le champ symbolique.


 それに当然文学もそうだ。『エクリチュールの零度』(1953年)の方向性はむしろ社会学的であるが、『彼自身によるミシュレ』(1954年)のそれはテーマ批評的でありバシュラール的だ。『S/Z』(Seuil、1970年)は物語の記号論を提起し、ここに、時に修正された、先述の「記号学の諸要素」が認められるが、これは「物語の構造分析序説」(『コミュニカシオン』誌、第八号、1966年)にて補完され、これに関しては物語の分析や散文の詩学に宛てられた章において触れることとなろう。『S/Z』においては従って、バルトは、明示的意味と暗示的意味との区別、≪シニフィエ≫の割り出し、肉体〔資料体〕の単位(ここでは、バルザックの中篇『サラジーヌ』)、換喩に変わらず忠実である。バルトが考案したコードとはそれ自身イエルムスレウのレヴェルに一致する――が順序付けといった概念はなく、例えば、行動のコード、解釈学的または「真理」のコード、文化的諸コード、象徴の場がある。

 D’autre part, en 1966, dans un essai, La Critique et la Vérité (Seuil), dont l’origine était une polémique avec Raymond Picard, qui avait attaqué son Racine, on voit mieux, à distance, ce que la réflexion sémiologique avait apporté cette théorie de la critique. Récusant « l’objectivité », Barthes oppose aux certitudes du langage un « second langage », « profond, vaste, symbolique », aux « sens multiples ». On ne peut retrouver la structure d’une œuvre ou d’un genre « sans le secours d’un modèle méthodologique » (tel celui que lui avait fourmi la linguistique). De même, il revient à la conclusion des Elements, lorsqu’il affirme que « toute l’objectivité du critique tient non au choix du code mais à la rigueur avec laquelle il appliquera à l’œuvre le modèle qu’il aura choisi ». Notre époque a redécouvert, sous l’action de la psychanalyse, du structuralisme, de la linguistique, la nature symbolique du langage. La diversité n’est pas du relativisme ; « l’œuvre détient en même temps plusieurs sens, par structure, non par infimité de ceux qui la lisent » : le symbole, c’est la pluralité des sens. La philologie fixe le sens littéral d’un énoncé ; le linguiste (ou le sémioticien) donne « aux flottements du sens un statut scientifique ». L’œuvre peut donner lieu à deux discours différents : celui de la « science de la littérature », qui cherche en elle tous les sens qu’elle couvre, et celui de la critique littéraire, qui vise un seul de ces sens. La « science de la littérature » traite des variations de sens engendrables par les œuvres, et pourrait recourir au modèle linguistique génératif. Il n’a pas de science de Racine, mais du discours : c’est l’étude des unités de discours inférieurs et supérieurs à la phrase. La science de la littérature décrit « selon quelle logique les sens sont engendrés d’une manière qui puisse être acceptée par la logique symbolique des hommes ». La « critique » n’est pas, pour autant, indifférente au modèle sémiotique, puisque l’œuvre constitue « un système de sens », qui reste « inaccompli, si toutes les paroles ne peuvent s’y ranger à une place intelligible ». La généralisation qualitative, opposée au simple dénombrement quantitatif, qu’opère la critique insère « tout terme, même rare, dans un ensemble général de relations » qui procèdent par oppositions. Même si la distinction entre « critique » et « science de la littérature » est fragile, il importe de voir que ces deux activités relèvent d’une seule méthode, qui est sémiologique, ou sémiotique, à partir du moment où elle prend une œuvre, ou un corpus donné, comme un ensemble de signifiants qui subissent des transformations réglées selon les contraintes de la logique symbolique.


一方、1966年に、『批評と真実』(Seuil)というひとつのエッセーでは、これは彼の『ラシーヌ』を攻撃したレイモン・ピカールとの論争がもとになっていたが、時を経て、記号学的考察がこの批評の理論に齎していたものをよりよく見ることが出来る。≪客観性≫に異議を申し立てつつ、バルトは言語の確実性に≪多義的な≫≪深く、広く、象徴的な≫≪第二の言語≫を対置させる。ひとつの作品やひとつのジャンルの構造は方法論的モデル(言語学が彼に齎したそれである)を借りることなく見出され得ないのである。さらに、「批評家の客観性全てはコードの選択ではなく批評家が選んだモデルを作品に適応する場合の厳密さに由来する」と断言するとき、彼は「諸要素」〔前出の論文名〕の結論に立ち返っているのである。我々の時代は、心理分析、構造主義言語学の活動の下、言語活動の象徴的な性質を再発見したのである。意味の多様性は相対主義ではなく、「作品が一度に幾つもの意味を描き出すのは、構造上そうなのであって、作品を読む者のせいではない」、つまり象徴とは意味の多義性なのである。文献学は陳述されているものの字義通りの意味を据えるが、言語学者(もしくは記号学者)は「意味の流動性に科学的な視座を」与えるのである。作品には二つの異なるディスクールがあり得る。つまり≪文学の科学≫のそれであり、作品において、それが覆っているすべての意味を探求するものであり、一方、文芸批評のそれは、これらの意味の唯一つのものを目指すのである。≪文学の科学≫は作品から生じうる意味のヴァリエーションを扱い、これにより生成言語のモデルを援用することが出来るといえよう。あるのはラシーヌの科学ではなく、ディスクールの科学なのだ。つまりそれは文章より下位そして上位にあるディスクールからなる諸単位の研究なのである。文学の科学は「人々の象徴的な論理によって≪受容≫されうるように意味が生成されるのはどんな論理に従ってなのか」を描くのである。だからといって、≪批評≫が記号論のモデルに無関心であるわけではない。というのも作品はひとつの≪意味体系≫を構築するからであり、もし「ここにおいてあらゆる発話が認識可能な場所に配置されえないなら未完成のまま」であるものなのである。質的な一般化は、批評の行なう単純な数的な列挙に対置され、対照によって生じる「関係からなる一般の総体に、稀なものをも含むあらゆる項目を加える」のである。≪批評≫≪文学の科学≫間の区別が弱くとも、重要なことはこれら二つの活動がただ一つの方法に拠っているということを知ることであり、それが記号学もしくは記号論で、象徴的な論理の制約に従って調整された変換を蒙っているシニフィアンからなる一つの総体として、一つの作品もしくは与えられた資料体をこの方法が扱った瞬間からそうなのである。